Pendant la guerre, pour ne pas être déporté aux travaux forcés, Karol doit travailler. Il devient ouvrier, mais le travail physique ne lui fait pas peur.
Karol est un pacifique. Il déteste la violence et le manque de respect de la dignité humaine. Il résiste à l’occupant nazi par la culture et la prière.
Depuis son plus jeune âge, Karol aime la poésie et récite des vers par cœur. Ayant grandi, il écrit lui-même des poèmes, dont un dédié à sa maman décédée.