Les journaux catholiques sont interdits par le régime communiste, qui combat la religion. Don Karol devient un auteur clandestin, d’un journal clandestin.
La répression touche tous les secteurs de la société. Elle piétine aussi les droits des travailleurs. Don Karol rend hommage aux ouvriers par la poésie.
Monseigneur Wyszynski négocie avec les autorités communistes pour la liberté de l’Eglise, mais cela ne suffit pas. Il devient alors un opposant farouche.
Don Karol s’entend très bien avec les étudiants, qui l’apprécient énormément. Il fait de plus en plus d’activités avec eux et fonde une drôle de famille.
Don Karol exprime sa philosophie et sa théologie par l’écriture. Parmi ses premiers écrits dans des journaux, il rend hommage à Jan Tyranowski et Frère Albert.